Histoires Poitevines

 

 

Marcus von Dantzig

Les Poitevins sont issus des Atlantes, ce qui fait d’eux des êtres d’exceptions, mais même si vos racines ne sont pas du Poitou, votre contribution à sa libération sera la bienvenue et nous vous offrirons ensuite l’asile politique pour que vous puissiez quitter l’inhospitalière terre française. Certains émigrés sont de véritables héros et leurs familles se sont ensuite parfaitement intégrées aux Poitevins de souche. Voici l’histoire d’un de ces héros dont le descendant est membre actif du FLP et œuvre pour VOTRE libération : voici la très véridique histoire de Marcus von Dantzig.

 

Il était une fois le chevalier Marcus von Dantzig, qui avait quitté son pays lointain pour venir en France gagner de l’argent contre ses services guerriers. Pour montrer sa valeur, il participa d’abord à quelques tournois et en sortit toujours vainqueur, malgré un équipement minable.

L’Histoire ne garda de ces faits que le côté héroïque et fit de Marcus von Dantzig un modèle chevaleresque. Mais elle oublia (quelle conne) en quelles circonstances ces tournois eurent lieu. Ce vieux Marcus, un chaud lapin, se tapait les seigneurs organisateurs. De fait quiconque le battait au tournoi était puni de mort par pendaison par les c…

…Castors zoophiles, toujours observables dans des réserves naturelles du centre de la France aujourd’hui. Pour ceux que ça intéresse, le parc est ouvert de 13h00 à 14h15, sauf hors dimanche et jours fériés ; le parking est situé dans un trou perdu de la Creuse (possibilité de restauration pour les cannibales entre 13h00 et 13h30).

Marcus ayant montré sa valeur aussi bien guerrière qu’au lit, le roi Philippe Auguste lui demanda de rentrer sous son service car il appréciait ce type de qualité. En échange, Marcus reçu des terres dans un bled paumé près de Poitiers : Vouneuil sous Biard. Quelques mois plus tard, le Roi lui demanda de l’accompagner en terre sainte pour « fumer les bougnouls ». Marcus qui rêvait de goûter (dans tous les sens du terme) à la chair païenne, rassembla une vingtaine de ses meilleurs hommes d’armes, tous Vouneuillissoisurbiardien, et suivit Philippe qui partait en compagnie de Richard Cœur de Lion, Roi des cons, euh…non, pardon : des Anglais.

Marcus et les Anglais firent… très bon ménage. Les liens franco-anglais ainsi resserrés, les croisés ne faisaient parfois qu’un seul corps. Ils arrivèrent en terre sainte en défonçant tout sur leur passage. Marcus devint célèbre par cette célèbre phrase : « les beurres, j’en prends en tartine au p’tit déj »’.

Mais l’histoire enseignée de nos jours a, là encore, omis un détail : la marque de ce beurre. Et pourtant, ce détail a une importance cruciale ! En effet, la datation par la méthode du potassium-argon a permis d’affirmer qu’il s’agissait de barquettes … de St Hubert 41 ! C’est pourquoi, dès lors, une branche dissidente de crapules flasques et blanches s’est formée. Et aujourd’hui encore, des rescapés pourrissent la vie des autres…

Mais revenons à notre héros (je pourrai dire « revenons à nos moutons » mais Marcus était tout, sauf un mouton : il a été pris à dix-sept ans pour conduite en état d’ivresse et possession de stupéfiants). Donc, revenons à notre héros. Les croisés, à cause de cet imbécile de Saladin (unifier le monde Musulman pour détruire les envahisseurs impérialistes, non mais quelle idée ? Franchement ?) étaient en difficulté. De plus, l’Angleterre s’amusait à étendre son influence en France en l’absence de Philippe (quelle mentalité !). Philippe revint alors en France (Richard aussi essaya de rentrer, mais cet imbécile s’est fait capturer sur le chemin) et Philippe envoya Marcus avec un commando en infiltration chez les cons,… non!, les Anglais.

Il alla donc chez les British, où il revit des frères de guerre avec lesquels il avait gardé l’esprit de corps. Boosté par ces relations, il réussit à approcher… la Reine : Aliénor d’Aquitaine.

Et alors là, coup de foudre ! Il est passé et repassé sur le pont d’Aquitaine, ravageant encore et encore la pauvre Reine, épuisée par une connaissance acquise en Inde lors d’un voyage d’affaires : le Kama-Sutra.

De cette union naquit un fils. Il fut ardu à la reine nymphomane de dissimuler sa grossesse qui aurait choqué, car son mari était depuis longtemps décédé. Marcus fut tellement heureux qu’il s’acquitta avec une joie immense de sa mission, massacrant la Reine et tous les cons… merde, fait chier hein ? j’arrive pas à le dire du premier coup, tous les Anglais ! et il retourna dans son château vouneillessousbiardissois avec son fils : Marco von Dantzig pour voir si les puceaux et pucelles de ses terres valaient ceux d’Angleterre.

Il le vit tant et si bien qu’il finit ainsi sa vie. Ainsi périt Marcus von Dantzig, chevalier du Roi Philippe II Auguste, massacreur de cons,… merde, d’Anglais, croisé affamé et gigolo immodéré, bretteur invaincu, etc., etc. Mais ceci n’est que le début d’une longue lignée d’illustres héros. Il convient de citer Marco le « brun » von Dantzig, appelé ainsi à cause de sa capillarité très abondante et sombre qu’il tenait de sa mère, Béatrice d’Algarve (région du Portugal où les femmes poilues sont, avec la morue, la spécialité locale). Le jeune aristocrate du Poitou vécut à la fin du XVIIIème siècle et rejoignit les rangs révolutionnaires abandonnant le prestigieux titre de ses ancêtres et prenant son surnom comme nom, nom qu’ont porté bien d’autres héros, descendants de l’illustre Marcus : St Marc bis, génial inventeur de la lessive, Markeil O’Rell, indépendantiste irlandais vouant une guerre acharnée contre les Anglais et ayant sa place à l’Amicale Internationale des Latinistes, Mar(o)c(ain), ayant développé l’exportation de couscous chez les Popofs, Marc(assin), négociant en souliers, Mar(aux)c(anards), … Que des noms célèbres ! Les autobiographies de ces illustres descendants sont disponibles en librairie au modeste prix de 25,93 EURO avec réduction de 30% à la tête du client.

 

D’après Les Familles des héros de la révolution,

rédigé par Pascal Dansignon en 1831,

Adapté en français moderne par :

G’Ry Khan, chef de la Milice du FLP

Hïgou Khan, Recruteur du FLP

et Arlaké Khan Membre d’honneur du FLP

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TRUC:

"Okildichi madawaîkouloun koubé" comme le dirai Jenkhan (le frère de Potokhan),car il est introduit ainsi dans le tome 10 de La vie du seigneur mandarin.

Comme tout le monde sait maintenant que nous sommes sous une nouvelle ère de la société des khan, cette citation est autant celle du peuple que des bourgeois, autan celle des dirigeants que des putes, et autant celle des femmes que du couscous !

Ainsi donc cette phrase sublimement connue, et pour cause, c’est sûrement la plus belle façon d’entamer un livre. Elle est d’ailleurs citée au début de chaque ouvrage provenant de l’Histoire du FLP, rien que pour le plaisir, je vous le répète une deuxième fois, car comme on dit chez nous « mie vau lavoir maintenant car sinon va pa crié garr si sen va pa la fnetre la di don lami », voici donc pour la deuxième fois cette sublime phrase pleine de charme et de compassion : « okildichi madawaîkouloun koubé », la traduction, comme vous le savez tous » de ce passage (évidemment ces enfoirés de français anti- FLP ne le savent pas)est la suivante : "rejoins-moi au campigrill là maintenant tout de suite je peux pas venir ma femme est à genou devant moi".

Combien d’hommes en cette phrase ont retrouvé l’espoir de ne plus être seulement l’ombre de leur chaussette gauche, et combien de femmes, grâce à cette phrase, ont enfin retrouvé le chemin de la cuisine après s’être perdues au fond du lit…Vraiment, à l’heure d’aujourd’hui, nous pouvons l’affirmer, cette sublime phrase fait partie du patrimoine culturel du Poitou, au même titre (ou presque, que son mandrin (oups) mandarin millénaire et suprême)

 

Cela étant dit, nous pouvons donc entrer au cœur du débat, le sujet d’aujourd’hui est : Doit on garder la gravité au même niveau dans tout le Poitou ? Grande question qui sépare tout le peuple poitevin depuis déjà des semaines, des mois et des années, si ce n’est plus !!!

Que faire ?

Pour répondre à cette question, nous nous devons de faire un petit saut dans la passé, où nous retrouvons un jeune garnement du nom de Gdjafilémafotohierjanéplusparcontrejevebientemontrermonculifoplusqejless Khan, personnage qui est d’ailleurs un ancêtre lointain de notre présent et aimé Ministre de la justice.

Enfin bref, nous rejoignons donc ce jeune homme que nous baptiserons désormais Gkhan pour le bien de l’éditeur.

L’histoire se passe donc dans les années 30,1430 pour être précis. Lors d’une joyeuse promenade au bord du Clain, ce jeune homme se présenta devant un poisson, l’appétit se faisant grand pour le pauvre affamé, il prit une tentacule de crapaud mutant afin d’attraper le petit écaillé. Toujours étant que, dans la seconde qui suivit la prise en main de l’objet cité, Gkhan se retrouva pris dans une chute sans fin qui s’arrêta donc dans l’eau. Le malheureux se retrouva assommé contre un requin type B marteau qui passait par là, et malgré tous ses efforts de lutte contre la mort (il ne put rien faire puisque assommé), il se retrouva avalé par le menu (jeu de mot !!!) poisson qui était destiné a être la victime. Ainsi se pose le problème de la gravité.

Dans l’attente des réponses de tous les membres du gouvernement. Avec mes salutations les plus sincères et mon doigt profond dans ta bague, à bientôt.

 

Passmoatafotokejlass khan a parlé ( ministre de la justice, des plantes et du bonheur)

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Lettre anonyme venant d’un homme anonymement reconnu en tant que Passmoatafotokejlass Khan

Il est un pays où les gens ne connaissent pas le FLP !!!

Pauvres de ces gens, puisqu’ici même, dans le chef-lieux de toutes les discussions de quartiers les plus intéressantes puisqu’on parle surtout de moules et de frites, ainsi que de poulets les jours de fêtes. cela étant dit, nous pouvons donc poser le deuxième problème qui se pose, qui se pose si délicatement même que les gens ne l’ont pas remarqué, il est donc de mon devoir de vous en informer et ensuite, il est du notre de trouver une solution à ce problème que je vais donc vous énoncer là maintenant tout de suite si tu le veux bien ma chérie commençons j’ai pas que ça a foutre allez vas-y viens je t’attends dans mon lit ramène-toi avec ta sœur et une fraise tagadagagada tsoin tsoin,et si t’as un peu de temps, je te mettrai mon doigt profond dans ta bague, une foi n’est pas coutume !

Donc revenons à nos grillades, je disais donc le problème étant là et posé, pourquoi y a-t-il tellement de gens qui pètent les plombs en cette période pourtant propice à l’épanouissement des plus grandes classes puisque nous allons tous passer le bac ?

Alors pour répondre à cette question nous recevons donc le plus grand péteur de plomb de toute la zone sud américano-cubaine qui est donc là pour nous parler de sa femme, alors mon chère Mr jtembrasssitumsucela khan, que se passe t-il quand vous pétez les plombs ????

_eh bien preimièrementé je léé diré ka vou kar jai pur de me belle maman i est dan le publik

_Ah votre belle-mère est dans le public… eh bien dites-lui bonjour l’ami, voyons…

_nan vou mal compri,elle est dans toilette publik et elle écoute la radio

_C'vrai,rien de tel qu’une belle merde kant on est au chiotte,merci madame

_donc yé vou dizé ké quan je pète des plombs, ma femme a moins mal au dent

_a bon c un coutume chez vou,enfin je veus dire,c’est psykologik ce mal qui disparais ?

_nan nan il suffi de manger des fayots et de bien visé la cari..

_et bonne appétit bien sur a tout nos candidat car il est l’heure du kisucekiiiiiiiiiiiiiiiiiiii….

_makésukecé ?

_vous êtes entrain de touché labite a rené, le caméraman

_yé ché,hé pour techté si lui aussi il pète les plombs

 

Eh bien, voyez-vous très chers membres du FLP, le problème du pétage de plombs est peut-être résolu grâce à moi et ma science éclairée, mais il n'en faut pas moins oublier d’organiser une session extraordinaire pour éclaircir tout ça.

Dans l’espérance de vous revoir très vite et en vous remerciant cordialement, la prochaine fois c’est mon doigt bien profond dans ta bague.

Passmoatafotokejlass khan a parlé ( ministre de la justice, des plantes et du bonheur)

 

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